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Channel: CMS Bureau Francis Lefebvre - Actualités
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Parution de l'ouvrage "Autoliquidation de la TVA" . Toutes les règles applicables par les opérateurs français et étrangers

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Plus d'une centaine de cas pratiques

Tous les dispositifs d’autoliquidation de la TVA sont détaillés notamment ceux instaurés depuis 2006 (livraisons de biens, opérations triangulaires, biens montés ou installés, bien stockés, importations, prestations de services BtoB, travaux de construction effectués par une entreprise sous-traitante, services de communications électroniques, livraisons de gaz et d’électricité, opérations portant sur les déchets neufs d'industrie et les matières de récupération...)
 
Très opérationnel, il comporte 115 cas pratiques recouvrant l’essentiel des situations d’autoliquidation pouvant se rencontrer, des modèles (déclarations et formulaires), ainsi qu’un certain nombre de tableaux de synthèse.

Longtemps réservée à un nombre très limité d'opérations parmi lesquelles figuraient "les prestations immatérielles", l'autoliquidation de la TVA par le client a vu son champ s'élargir dans l'ensemble des pays de l'Union européenne depuis le milieu des années 2000.
 
Entrée en force dans le paysage français en septembre 2006 pour les entreprises étrangères et leurs clients, l'autoliquidation a vu depuis lors son périmètre s'élargir au point de devenir un sujet de préoccupation pour les entreprises.
 
S'adressant aux entreprises, tant françaises qu'étrangères, et à leurs clients, cet ouvrage examine en détail les règles françaises applicables dans les situations susceptibles de donner lieu à autoliquidation de la TVA : livraisons de biens, opérations triangulaires, biens montés ou installés, biens stockés, importations, prestations de services BtoB, travaux de construction effectués par une entreprise sous-traitante, services de communications électroniques, livraisons de gaz et d’électricité, opérations portant sur les déchets neufs d'industrie et les matières de récupération…
 
Résolument opérationnel, il comporte 115 cas pratiques recouvrant l’essentiel des situations d’autoliquidation pouvant se rencontrer, ainsi qu’un certain nombre de tableaux de synthèse.

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Cet ouvrage a été co-écrit par :

  • Ariane Beetschen, avocat associé
  • Marie-Odile Duparc, avocat counsel
  • William Hamon, avocat

Pour plus d’informations, contacter :


Parution du Mémento de Gestion Immobilière 2016

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Parution du Mémento Gestion Immobilière 2016 auquel ont collaboré Aline Divo, avocat associé et Charlotte Felizot, avocat

Pour maîtriser toute la réglementation relative à la gestion immobilière :

  • L'ensemble des règles juridiques et fiscales sur la vente et la gestion d'immeuble
  • Un ouvrage pratique qui traite de problèmes concrets que vous pouvez rencontrer
  • Un traitement en 6 parties : vente immobilière, financement de l'immobilier, organisation et gestion de l'immeuble, rapports locatifs, fiscalité et agents immobiliers.
  • L'ensemble des réformes impactantes intégrées : loi Alur, loi Pinel, loi Macron, loi sur la transition énergétique pour la croissance verte...

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Parution du Mémento Urbanisme Construction 2016

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Parution du Mémento 2016 « Urbanisme Construction » auquel ont collaboré Sandra Kabla, counsel,  Laurent Toulze, avocat et Jean-Luc Tixier, avocat associé

Toute la réglementation de la construction et de l'urbanisme en un volume

  • Une synthèse du droit de l'urbanisme et du droit de la construction.
  • Un traitement en 3 parties : opérations préalables à la construction, opérations de construction et de commercialisation, responsabilités et assurances.
  • L'ensemble des réformes impactantes intégrées : loi Alur, loi Pinel, loi Macron, loi sur la transition énergétique pour la croissance verte...

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Comment travailler aujourd’hui en Iran : une étude conjointe du cabinet de conseil Roland Berger et CMS dont le cabinet d’avocats CMS Bureau Francis Lefebvre est membre

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L’Iran après les sanctions :

  • L’économie iranienne devrait connaître une croissance de 4 à 5 % par an jusqu’en 2020 — la fin des sanctions constitue une opportunité de taille pour les acteurs en Europe
  • Les 78 millions d’habitants du pays ont ouvert leurs portes à l’économie mondiale
  • Au cours de la période 2014-2020, les ventes de véhicules devraient doubler, pour atteindre 1,8 millions 
  • Les experts de Roland Berger et de CMS proposent cinq  étapes à suivre pour faciliter les opérations des entreprises étrangères en Iran.

L’Iran est la dernière grande économie nationale à ouvrir ses portes aux marchés internationaux. Les nouvelles opportunités que le pays représente avantageront certainement la population iranienne, avec ses 78 millions d’habitants, ainsi que de nombreuses entreprises étrangères. Les experts de Roland Berger Allemagne et de CMS,  réseaux de cabinets d’avocats leader en Europe, ont rédigé une étude commune intitulée « Comment travailler efficacement en Iran?? ». Elle traite du potentiel de l’Iran, du fonctionnement du marché local et de la manière dont les entreprises étrangères peuvent gérer le défi que représente une implantation en Iran.

Le produit intérieur brut (PIB) de l’Iran n’est que de 415 milliards de dollars. L’Allemagne, dont la population est similaire, bénéficie d’un PIB plus de 9 fois supérieur. Le pays possède non seulement de très nombreuses ressources naturelles, notamment en matière de gaz et de pétrole  mais dispose également d’une population jeune et bien éduquée.

« Forte d’un tel cadre, l’Iran offre un potentiel considérable pour les entreprises qui évoluent à l’échelle internationale »  selon Philipp Grosse Kleimann co-auteur de l’étude et associé de Roland Berger. « Nous pensons que l’économie iranienne devrait connaître une croissance de 4 à 5 % par an jusqu’en 2020 ».

Les sociétés européennes sont bien placées pour regagner des parts de marché

L’Iran importe actuellement la majorité de ses biens et services depuis la Chine. « Mais les entreprises européennes, sont bien placées pour regagner les parts de marché perdues à la suite des sanctions » explique Shaghayegh Smousavi, avocat associé de CMS Hasche Sigle. 87% des Iraniens estiment par exemple que les produits allemands sont synonymes de qualité. En outre, le marché iranien a évolué par rapport à  la période précédant les sanctions. « Les Iraniens ont énormément travaillé ces dernières années pour connaître une croissance malgré des sanctions très strictes  imposées à un pays. C’est pourquoi ils sont  confiants lorsqu’ils traitent avec leurs partenaires commerciaux occidentaux ».

Les Iraniens attendent néanmoins plus des entreprises occidentales qu’une simple mise à disposition de produits. Nombre d’entrepreneurs iraniens souhaitent bénéficier  d’investissements étrangers, afin de les aider dans le développement de leurs propres activités, tout en bénéficiant du savoir-faire et de l’expertise des entreprises internationales. « Tous les secteurs industriels connaissent actuellement une forte expansion, du secteur de l’automobiles au secteur bancaire » indique Grosse Kleimann. L’industrie automobile devrait doubler ses volumes au cours des deux prochaines années grâce à l’ouverture du marché : en 2014, 900?000 véhicules ont été vendus et ce chiffre devrait atteindre 1,8 million en 2016.

Néanmoins, les experts préviennent les entreprises occidentales que la situation n’est pas simple : « malgré des perspectives encourageantes, le succès économique en Iran ne doit pas être considéré comme acquis ». Les conséquences de l’isolation continuent d’être un obstacle pour le budget de l’État et la réduction des prix du pétrole entraine une diminution des revenus. Dans un même temps, le système fiscal iranien est extrêmement compliqué et fortement réglementé par le gouvernement.                               

En outre, les entreprises occidentales doivent intégrer  une culture forte de 5?000 ans d’histoire, largement inconnue hors du pays. « Afin que les entreprises puissent profiter des opportunités offertes par l’Iran, elles doivent s’intéresser à l’environnement tant national que local » indique Grosse Kleimann.

Quatre étapes à suivre pour opérer  en Iran

Les experts de Roland Berger et de CMS Hasche Sigle conseillent de suivre ces quatre simples règles pour se lancer avec succès sur le marché.

  1. Une bonne compréhension de l’histoire, de la culture et de l’environnement commercial de l’Iran est indispensable. Un soutien local constitué d’intervenants et de partenaires commerciaux parlant perse est également important dans la mesure où de nombreux documents ne sont disponibles que dans la langue nationale. « Afin de gagner la confiance des partenaires locaux au long terme, des réunions doivent être organisées régulièrement » conseille Grosse Kleimann. « Nous recommandons aux entreprises d’ouvrir un bureau sur place ».
  2.  Les premiers contacts doivent être établis par la direction de l’entreprise. Un intermédiaire peut proposer une solution alternative, mais il existe toujours un risque à procéder ainsi. « Investir du temps à chercher des médiateurs fiables et à établir un contact direct avec les preneurs de décisions locaux s’avèrera toujours positif » selon Shaghayegh Smousavi.
  3. En ce qui concerne les aspects juridiques, les entreprises doivent se préparer de manière exhaustive et détaillée avant de commencer à travailler en Iran. Comme le confirme Shaghayegh Smousavi, « l’Iran a mis en place 52 accords bilatéraux relatifs à la protection des investissements ainsi que de nombreuses conventions en matière de double imposition. Les entreprises doivent avoir à l’esprit  les nombreux obstacles juridiques et fiscaux ainsi que les réglementations administratives en vigueur qu’elles doivent intégrer dans leurs business plans ».
  4. En particulier, Agnès de l’Estoile Campi et François Hellio, avocats associés de CMS Bureau Francis Lefebvre souhaitent insister sur le fait qu’il faut intégrer à l’amont la fiscalité dans les projets. En effet, outre un traité de protection des investissements, la France a une convention fiscale avec l’Iran qui est en vigueur depuis 1975. Le taux d’impôt sur les sociétés est de 25%. L’Iran compte de nombreux dispositifs de zones franches qui permettent de diminuer cette imposition et. facilitent les paiements à l’étranger. Il faut en effet tenir compte du contrôle strict des changes pour le rapatriement des profits réalisés sur place. A cet égard, la convention fiscale franco-iranienne n’apporte pas forcément d’avantages, la connaissance de la fiscalité iranienne est donc indispensable pour élaborer un business plan fiable. Pour en savoir plus sur les aspects fiscaux lire l'article complet sur LEXplicite.fr
  5. Enfin, en  Iran, le processus de décision peut être long. « Pour ce faire, disposer d’un bureau sur place et coopérer étroitement avec des partenaires iraniens est positif car cela prouve une volonté de s’impliquer à long terme » explique Grosse Kleimann. « Cela permet de gagner la confiance de ses interlocuteurs et de lever plus rapidement les barrières administratifs qui peuvent se présenter ».

 

>> Télécharger l’étude en version intégrale How to do business in Iran


Pour plus d’informations, contacter :

Parution du Mémento Concurrence-Consommation 2016

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Parution du Mémento Concurrence-Consommation 2016 auquel ont collaboré Virginie Coursière-Pluntz, Elisabeth Flaicher-Maneval, Amaury Le Bourdon, Nathalie Pétrignet et Denis Redon pour la rubrique "Ententes et abus de domination"

Sécurisez vos actions commerciales

  • Le bon outil juridique pour sécuriser votre activité commerciale à chaque étape.
  • Il décrit ce qu’il vous est possible de faire, dans quelles conditions et tout ce qui est interdit… en matière de concurrence, publicité et promotion des ventes et de protection des consommateurs.

Ce Mémento indique à chaque stade de la commercialisation tout ce qu’il est possible de faire, dans quelles conditions, et tout ce qui est interdit:

  • concurrence : vos droits face à vos concurrents et les limites à ne pas franchir (ententes illicites, abus de position dominante, pratiques commerciales abusives, délais de paiement…)
  • publicité et promotion des ventes : pratiques commerciales déloyales, primes, loteries, ventes jumelées, ventes avec réductions de prix, soldes…
  • protection des consommateurs : clauses abusives, crédit à la consommation et immobilier, démarchage, vente à distance, fichiers informatisés…
  • Il vous donne les éléments indispensables pour profiter au mieux de toutes les opportunités en évitant les pièges d’une réglementation toujours plus complexe.

Pour en savoir plus

CMS Bureau Francis Lefebvre coopte 5 nouveaux associés

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CMS Bureau Francis Lefebvre annonce la cooptation de 5 nouveaux associés : Alexandre Bastos (Restructuring – Insolvency), Jean-Fabrice Brun (Contentieux & Arbitrage), Olivier Kuhn (Contentieux & Arbitrage), Alexandra Rohmert (Corporate/Fusions & Acquisitions) et Anne-Sophie Rostaing (Fiscal).

Le cabinet compte désormais 104 associés sur un nombre total de 380 avocats.

Alexandre Bastos (Restructuring – Insolvency) a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 1999 après une première expérience au sein du département finance de Freshfields Bruckhaus Deringer à Londres. Il intervient sur tous types de dossiers liés au traitement des difficultés des entreprises (procédures amiables, restructurations financières et industrielles, procédures collectives et contentieux y afférents).
Diplômé de l'ESSEC, il est également titulaire d'un D.J.C.E. / magistère de droit des affaires et fiscalité de l'université Paris II Panthéon-Assas. Il a remporté le prix Freshfields - Les Echos en 1998.

Jean-Fabrice Brun (Contentieux & Arbitrage) a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 2004. Co-responsable du département Contentieux & Arbitrage, il intervient dans les procédures contentieuses et arbitrales en matière de droit des affaires et de droit pénal des affaires.
Diplômé de l'ESSEC (2004) et de l’Institut de droit des affaires de l'université Paris II Panthéon-Assas (Major) (2000), il est titulaire d’un DESS de droit des affaires - DJCE de l'université Paris II Panthéon-Assas (2001).

Olivier Kuhn (Contentieux & Arbitrage) a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 2003. Co-responsable du département Contentieux & Arbitrage, il intervient sur tous types de contentieux en matière de droit des affaires et de droit pénal des affaires.
Il est titulaire d'un DESS de droit des affaires de l'université Paris V Malakoff (2001) et d'un DEA de droit pénal et sciences pénales de l'université Paris II Panthéon-Assas (2000). 

Alexandra Rohmert (Corporate/Fusions & Acquisitions) a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 2000. Elle a exercé au sein du cabinet Clifford Chance pendant près de quatre ans, d’abord à Francfort pendant plus de deux ans, puis à Paris et a ensuite rejoint en 1997 Archibald Andersen.
Elle accompagne les entreprises, essentiellement étrangères, dans leurs projets internationaux et a acquis une forte expertise dans les opérations de fusion-acquisition cross-border et dans les dossiers franco-allemands.
Titulaire d’un DESS de droit des affaires internationales de l'université Paris X (1990), elle possède une double qualification d'avocat français et allemand (“Rechtsanwältin”).

Anne-Sophie Rostaing (Fiscal) a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 2002.
Elle couvre l'ensemble des questions relatives à la fiscalité générale des entreprises (assistance au quotidien de groupes français et internationaux en matière de fiscalité directe, opérations d’acquisitions et de restructurations, contrôles et contentieux fiscaux) et à la fiscalité des dirigeants.
Elle traite plus spécifiquement des problématiques liées à la fiscalité des groupes de sociétés et à la fiscalité immobilière (SIIC, OPCI, SCPI), et a accompagné ces dernières années de nombreuses opérations de M&A et de restructurations, notamment transfrontalières.
Diplômée d’HEC (2001, Liste du Président), elle est également titulaire d’un DESS de droit des affaires et fiscalité de l'université Paris I Panthéon-Sorbonne (2001).


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Open Law lance son programme “Economie Numérique du Droit”

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Le numérique au service du droit, le droit au service du numérique !

L’ouverture des données publiques juridiques est à l’origine du marché naissant de l’économie numérique du droit. Depuis l’ouverture du droit français en juillet 2014, une "Legal startup" se crée en moyenne chaque semaine.

Souvent présenté comme une menace pour le monde du droit, le numérique représente également une opportunité. C’est tout du moins la conviction d’Open Law* Le Droit Ouvert et de l’Association pour le Développement de l’Informatique Juridique (ADIJ), qui initient un nouveau programme d’innovation collaborative intitulé “Economie Numérique du Droit".

Un programme pour accompagner la transformation numérique du monde du droit

Le 4ème programme d’Open Law sera détaillé mardi 2 février lors des Journées de l’Innovation du Droit et du Chiffre (JINOV), les défis étant présentés jeudi 11 février. Il se clôturera le 25 novembre 2016 par une présentation des différents projets lors des Journées Européennes d’Informatique Juridique. Objectifs :

  • Développer l’économie du numérique juridique
  • Favoriser une collaboration constructive entre la Legal Tech et les professionnels du droit dans le cadre d’une déontologie adaptée
  • Permettre à des professionnels du droit d’inscrire leurs structures dans la transformation numérique et favoriser les collaborations entre les juristes et la Legal Tech
  • Promouvoir un modèle français à l’international

Ouvrir le débat sur la déontologie des entreprises numériques du droit

Le 1er défi du programme a pour objectif de dessiner les contours d’une "déontologie des Legal Tech" capable de favoriser la coexistence et la collaboration entre professionnels du droit et du numérique. Il fait écho à l’objectif annoncé de Me Frédéric Sicard, nouveau bâtonnier de l’Ordre des Avocats de Paris depuis janvier 2016, d’attribuer un label du barreau à certaines Legal Tech. Openlaw mettra en place une plateforme de  consultation et des événements pour débattre de cette future labellisation et de son contenu. Dans le cadre des évolutions induites par le numérique et du projet de loi Noé, les avocats eux-mêmes seront invités à débattre des évolutions de leur déontologie à l’ère du numérique sur une plateforme proposée par l’Ordre.

Développer la culture numérique et l’utilisation des technologiques juridiques par les juristes

Le 2ème défi du programme s’intéressera aux compétences futures attendues par le marché pour les juristes et les paralégaux. Il posera les fondations d’un MOOC “Droit et numérique” et identifiera des solutions concrètes pour faciliter l’intégration des étudiants en droit sur le marché du travail.

Tester différentes formules d’interprofessionnalité et de prise de participation financière

L’ouverture du capital des cabinets d’avocats est une opportunité pour développer "l’atout technologique" d’un cabinet positionné sur un marché de niche. Le numérique est un levier puissant pour trouver des financements lors de l’installation de son cabinet. Plus globalement, c’est une excellente opportunité pour permettre à un juriste de trouver de nouveaux clients et pour ouvrir de nouveaux marchés aux acteurs économiques du monde
du droit. Ce défi s’intéressera à l’ensemble de ces opportunités et visera à alimenter les débats du projet de loi Noé.

Dématérialiser les procédures et dessiner le tribunal du futur

Le 4ème défi cherchera à mettre en place une démarche d’innovation collaborative entre les créateurs de la eJustice, s’appuyant notamment sur les communs numériques mis en place lors du dernier programme (http://lab.openlaw.fr/ ).

Ce défi s’attachera à innover à partir des besoins des juristes et à expérimenter des solutions nouvelles pour la dématérialisation des procédures et la résolution en ligne extrajudiciaire des litiges.

A propos d'Open Law

Open Law* Le Droit Ouvert est un programme de cocréation
et une association du même nom. Née en 2014 de l’impulsion de la DILA, du Numa, d’Etalab et de l’Open World Forum, lui restent ses contributeurs actifs, Open Law est aujourd’hui une communauté de membres issus des secteurs public et privé. Fidèle à l’esprit "open law", l’association invite tous les
contributeurs intéressés.


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Bruno Gibert nommé arbitre dans le cadre de la convention d’arbitrage de l'Union européenne

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Bruno Gibert, avocat associé en fiscalité de CMS Bureau Francis Lefebvre a été nommé arbitre, par les autorités françaises, dans le cadre de la convention d’arbitrage de l'Union européenne.

La convention d’arbitrage de l’Union européenne prévoit une procédure ayant pour objectif de résoudre les différends résultant de la double imposition frappant des entreprises de divers États membres, en raison de la correction à la hausse des bénéfices d'une de ces entreprises dans un État membre.

Elle prévoit l'élimination de la double imposition au moyen d'un accord conclu entre les États contractants avec, si nécessaire, l'avis d'un organe consultatif indépendant. La Convention crée ainsi un contexte plus favorable aux activités transfrontalières dans le marché intérieur.


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CMS ouvre un bureau à Téhéran

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CMS annonce l'ouverture, le 1er février 2016, d'un bureau en Iran, à Téhéran, dirigé par des associés de CMS Allemagne. CMS est le premier réseau international de grands cabinets d’avocats à ouvrir un bureau dans la capitale iranienne, en disposant du droit d'y dispenser des conseils juridiques.

« CMS cherche à se développer dans les régions qui connaissent des évolutions et où nous percevons des opportunités. C’est le cas de l’Iran depuis la levée des sanctions, déclare le Président de CMS, Cornelius Brandi. L’Iran est un grand pays, avec une population jeune et très bien formée, désireuse de voyager et tournée vers l’international. Nous y voyons donc de nombreuses opportunités, notamment dans les secteurs de l’énergie, des technologies et de l’automobile. »

A la suite de l’élection en 2013 de l’actuel président, Hassan Rohani, et du début des négociations avec l’Occident, CMS a formé un groupe de travail pour tisser des liens avec l’Iran et préparer la création du nouveau bureau.

« L’ouverture d’un bureau CMS à Téhéran démontre clairement notre engagement et souligne l’importance du marché en Iran et au Moyen-Orient, affirme Hubertus Kolster, Managing Partner de CMS Allemagne. Cela nous permettra de fournir une assistance locale à nos clients et aux investisseurs concernant des projets en Iran. Il s’agit également d’un nouveau tournant pour notre cabinet dans le cadre du développement innovant de notre offre juridique à l’international. » CMS sera représenté en Iran par ses propres avocats, qui couvriront le droit iranien et l’ensemble des domaines du droit propres à un grand réseau international de cabinets d’avocats. La clientèle visée se compose de multinationales et de grosses PME iraniennes. CMS a déjà été conseil, il y a quelques jours, à l’occasion de la signature d’un contrat de coopération entre Daimler et Iran Khodro Diesel SSA. CMS en France a aussi conseillé récemment deux entreprises françaises en matière fiscale.

Le nouveau bureau CMS de Téhéran est situé dans la Tour Navak de la capitale iranienne, qui héberge également la Chambre du commerce extérieur allemand. L’équipe comprendra des avocats iraniens, sous la direction de Jürgen Frodermann et Shaghayegh Smousavi. Jürgen Frodermann conseille des clients allemands et iraniens depuis de nombreuses années. En tant qu’associée germano-iranienne de CMS, Shaghayegh Smousavi a travaillé avec des clients internationaux et a ainsi acquis une expertise juridique de premier plan dans les deux pays. Outre l’allemand, l’anglais et le français, elle maîtrise le persan et connaît bien le contexte et les institutions iraniennes du pays.

À propos de CMS :
Fondé en 1999, CMS est l’un des dix premiers cabinets d’avocats internationaux et le plus important en Europe en nombre d’avocats (Am Law 2013 Global 100) et propose des conseils spécialisés dans de très nombreux domaines. Disposant de 59 bureaux répartis dans 33 pays et employant plus de 3 000 avocats, CMS possède un savoir-faire de longue date en matière de conseil au sein de ses juridictions locales et au-delà des frontières.

CMS intervient pour de nombreuses entreprises des classements Fortune 500 et FT European 500 ainsi que pour la plupart des sociétés du DAX 30. CMS apporte son expertise dans 19 domaines et secteurs, notamment Banque et finance, Droit commercial, Droit de la concurrence, Corporate/Fusions et acquisitions, Contentieux et arbitrage, Droit social, Énergie, Propriété intellectuelle, Sciences de la vie, Droit immobilier, Technologie, média et communications et Droit fiscal.

Pour davantage d’informations, veuillez visiter www.cmslegal.com.


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6ème édition du Prix DJCE CMS Bureau Francis Lefebvre des meilleurs futurs avocats le 11 avril 2016

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Pour la 6ème année, CMS Bureau Francis Lefebvre organise le Prix DJCE CMS Bureau Francis Lefebvre des meilleurs futurs avocats.

Les meilleurs étudiants des DJCE de France seront sélectionnés pour travailler en équipe sur un cas d'entreprise en interaction avec les avocats du Cabinet.

L'objectif de ce prix, qui n'est pas un concours de droit, est d'évaluer la capacité des étudiants à résoudre un cas pratique comme le feraient des avocats juniors. Ce prix permet également aux étudiants de rencontrer des praticiens du droit et de se projeter dans leur future profession.

La première partie de la journée est consacrée au traitement du cas, en équipes de trois étudiants. Chaque équipe présente ensuite les résultats de son travail à un jury composé de cinq associés.

Les étudiants sont évalués sur les critères suivants :

  • Qualité technique de leur travail
  • Pédagogie et clarté de leur présentation
  • Capacité à travailler en équipe

La journée se termine par un cocktail en présence d'avocats du Cabinet, de directeurs de DJCE et de journalistes.

Chacun des membres de l’équipe gagnante se verra remettre un prix de 2 000 euros et offrir un stage de 3 à 6 mois.

Pour participer à cette 6ème édition, les candidats doivent faire parvenir un CV et une lettre de motivation à prix.djce@cms-bfl.com avant le 1er mars !

CMS Bureau Francis Lefebvre nomme 10 nouveaux Counsels

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CMS Bureau Francis Lefebvre annonce la nomination au statut de Counsel de 10 avocats du cabinet. Cette nomination a fait l'objet d'un vote lors de l'assemblée plénière des avocats associés du 7 avril 2016.

Ce statut, créé en 2014, reconnaît et promeut des avocats expérimentés pouvant se prévaloir d’une expertise ou d’une contribution distinctive. Les Counsels ont vocation à représenter le cabinet et à jouer un rôle actif dans la transmission de leur expertise et de leurs compétences.

Le cabinet compte désormais 44 Counsels et 104 associés parmi près de 400 avocats.

Les nommés sont :

Fiscal

  • Benoît Bailly (Fiscalité internationale)
  • Jean-Charles Benois (Fiscal)
  • Mathieu Daudé (Fiscalité internationale)
  • Muriel Lautré-Goasguen (TVA)
  • Amélie Retureau (TVA)

Juridique

  • Virginie Coursière-Pluntz (Droit de la concurrence et Réglementations économiques)
  • Rosetta Ferrère (Marchés de Capitaux)
  • Benjamin Guilleminot (Banque et Finance)
  • Alexandre Morel (Corporate/Fusions et acquisitions)

Social

  • Delphine Pannetier (Droit social)

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Prix DJCE - CMS Bureau Francis Lefebvre des meilleurs futurs avocats par équipe - Annonce des lauréats

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La 6e édition du prix DJCE - CMS Bureau Francis Lefebvre des meilleurs futurs avocats par équipe a eu lieu le 11 avril 2016 dans les locaux du cabinet à Neuilly-sur-Seine.

Les lauréats sont : Bastien Celié, DJCE de Montpellier, Nathan Kegler, DJCE de Strasbourg et Marie Saunier, DJCE de Toulouse.

Ils se sont vus chacun remettre un chèque de 2 000 euros et une offre de stage au cabinet, en présence de François Barrière, représentant de la FNDE et Président de l’ANDJCE de Paris II, des différents directeurs des DJCE ainsi que de nombreux avocats du cabinet, anciens élèves de cette formation de renom.

Le prix DJCE - CMS Bureau Francis Lefebvre des meilleurs futurs avocats par équipe récompense trois étudiants des onze DJCE en France sur leur aptitude à travailler en équipe pluridisciplinaire. L’objectif de ce prix est de mettre les étudiants dans une situation qui les prépare à leur future vie professionnelle.

Douze étudiants, présélectionnés sur leur motivation et répartis en quatre équipes, travaillent en parallèle sur un même cas, en interaction avec des avocats du cabinet, chaque équipe défendant en fin de journée ses propositions face à un jury interne.

Cette année, le jury comptait parmi ses membres: Philippe Grousset, avocat associé en fiscalité, Christophe Blondeau, avocat associé en droit des sociétés et Damien Decolasse, avocat en droit social.

A propos du DJCE :
Le Diplôme de Juriste Conseil d’Entreprise fut créé en 1966 puis repris par la Fondation Nationale pour le Droit de l’Entreprise en 1971, devenue par la suite Fédération nationale pour le Droit de l’Entreprise (F.N.D.E.). Ce diplôme fut le fruit d’une collaboration étroite entre professionnels et universitaires, afin de mener une action commune entre la pratique et la recherche en droit de l’Entreprise.

Fondateurs universitaires :
Le Centre du Droit de l’Entreprise de la Faculté de Droit de Montpellier
Le Centre de Droit des Affaires de la Faculté de Droit d’Aix-en-Provence
Le Centre de Droit des Affaires de la Faculté de Droit de Rennes

Fondateurs professionnels :
L’Association Française des Juristes d’Entreprise (A.F.J.E.)
L’Association Nationale des Juristes de Banque
L’Association Nationale des Juristes exerçant en groupe ou en société

Signature du pacte de partenariat le 29 septembre 1986 avec :
Le Bureau d’Etudes Francis Lefebvre (actuellement le cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre)
Le cabinet Jacques Barthélémy
Le cabinet Coopers & Lybrand (actuellement le cabinet Landwell & Associés)
Le cabinet FIDAL


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Le guide de la réforme du droit des contrats vient de paraître !

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CMS Bureau Francis Lefebvre a réalisé en partenariat avec Option Finance un hors-série intitulé "Le guide de la réforme du droit des contrats". Cet ouvrage a pour objectif d'apporter l'essentiel des éclairages et les premiers conseils pratiques concernant cette réforme. 
 
Ce hors-série a été coordonné par Hélène Chalmeton, Elisabeth Flaicher-Maneval et Arnaud Reygrobellet.Les auteurs sont :

- sur les aspects généraux de la réforme : Daniel Carton, Hélène Chalmeton, Alain Couret,
Elisabeth Flaicher-Maneval, Arnaud Reygrobellet et Bruno Zabala ;

  • Le Code civil à l’heure du numérique ? : Anne-Laure Villedieu ;

- sur les aspects pratiques de la réforme : 

  • droit des sociétés : Julie Bailly, Adeline Benoit, Christophe Blondeau, Alexandre Delhaye, Thomas Hains, Arnaud Hugot, Matthias Le Pan, Célia Mayran et Alexandra Rohmert ;
  • droit bancaire : Grégory Benteux, Magali Béraud, Alexandre Bordenave, Sadri Desenne-Djoudi, Benoît Fournier, Benjamin Guilleminot et Laurent Mion ;
  • droit de la distribution et concurrence : Daniel Carton, Brigitte Gauclère, Amaury Le Bourdon, Vincent Lorieul, Miléna Oliva, Denis Redon et Francine Van Doorne-Isnel ;
  • contrats immobiliers : Brigitte Gauclère, Jean-Luc Tixier et Laurent Toulze ;
  • droit du patrimoine : Sylvie Lerond.

Résultats de la 8e étude CMS sur les fusions-acquisitions en Europe

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  • Recours accru aux ajustements de prix post-closing 
  • L’assurance de garantie de passif s’impose
  • Baisse des plafonds de garantie et des périodes de garantie dans les contrats de garantie d’actif et de passif
  • Recours à l’arbitrage stable

Dans un contexte de fusions-acquisitions mondial dynamique, de volumes d’opérations en Europe en nette croissance, CMS, premier cabinet d’avocats d’affaires en Europe, annonce aujourd’hui les résultats de son étude annuelle sur les fusions-acquisitions en Europe en 2015, approche comparée régionale et sectorielle des tendances que traduisent les accords conclus dans cette période.

La 8e étude CMS s’appuie sur les 391 opérations sur lesquelles sont intervenues ses équipes en 2015, représentant au total depuis 2010 près de 2800 transactions. La comparaison des pratiques américaines et européennes, des tendances marquantes des différentes juridictions européennes et des différences en fonction des volumes d’opérations, donne un éclairage des contextes tant économiques que juridiques.

Détermination du prix de cession : recours accru aux ajustements de prix post-closing en Europe et en l’absence d’ajustement de prix, utilisation à la hausse des mécanismes de « locked box » déjà bien connus en France

Les transactions comportant un ajustement de prix post-closing sont en hausse en 2015 (49%) en comparaison des quatre dernières années (moyenne de 43%) mais restent bien moindres qu’aux Etats-Unis où l’ajustement de prix est quasiment la norme (86% des deals en 2015). Un ajustement du prix de cession opéré après la réalisation de la transaction permet aux parties d’établir une valorisation exacte de la société cible à la date de closing et présente l’avantage pour un acquéreur de ne pas lui faire porter le risque de l’éventuelle perte de valeur de la société cible entre le signing et le closing.

Lorsqu’il est prévu un prix fixe, les clauses protectrices dites de « locked box » restent prisées en Europe (56% des opérations en 2015 contre une moyenne de 41% sur la période 2010-2014). Le caractère attractif de ces clauses pour les vendeurs s’explique principalement par le fait qu’elles conduisent à figer le prix de cession sur la base de comptes arrêtés à une date de référence, permettant ainsi aux vendeurs d’avoir une visibilité accrue sur leurs conditions de sortie.

Focus France : historiquement, la France avait fait partie des pays ayant lancé en 2010 la tendance des transactions avec « locked box ».

L’assurance de garantie de passif s’impose

L’assurance de garantie de passif, initialement mise en place par les fonds de private equity et très présente sur le marché anglo-saxon, s’est désormais généralisée en Europe. Ce mécanisme offre une solution de recours aux acquéreurs dans les cas où les vendeurs ne peuvent ou ne souhaitent pas consentir de garanties. En présence d’une assurance de garantie de passif, le risque d’indemnisation pesant sur le vendeur portant sur des évènements ayant une origine antérieure à la cession et se révélant postérieurement sera externalisé vers un tiers assureur. Ce mécanisme permet ainsi parfois de faciliter la conclusion de transactions pour lesquelles les négociations relatives à une garantie de passif semblaient difficiles à mener à bien.

Baisse des plafonds de garantie et des périodes de garantie dans les contrats de garantie d’actif et de passif

La tendance favorable aux vendeurs constatée en Europe depuis quelques années se poursuit :

  • les plafonds de garantie des vendeurs (i.e. le plafond au-delà duquel l’acquéreur ne peut prétendre à aucune indemnisation) se réduisent mais restent toujours élevés en comparaison des États-Unis, où 92% des deals en 2015 stipulaient un plafond de responsabilité inférieur ou égal à 25% du prix de vente,
  • parallèlement, les opérations comportant une garantie de longue durée en 2015 reculent (avec seulement 15% des transactions affichant des périodes de garanties supérieures à 24 mois). Les secteurs Banque & Finance et Biens de Consommation sont les secteurs susceptibles de présenter les plus longues périodes de garantie.

Focus France : par rapport à nos voisins européens, la France présente toujours les plafonds de garantie les plus bas.

Différences régionales notables : le Royaume-Uni continue de connaître des plafonds de garantie des vendeurs plus élevés que dans d’autres pays et les pays du Benelux présentent les périodes de garantie les plus courtes.

Un usage modéré de la MAC clause (Material Adverse Change)

Les clauses MAC sont stipulées afin de permettre à l’acquéreur de se prémunir contre tout évènement imprévisible entre la période de signing (date de conclusion du contrat) et de closing (date de réalisation de la cession).

En 2015, seules 16% des opérations en Europe contenaient de telles clauses, ce qui donne au vendeur plus de certitude quant à la conclusion de l’opération, une situation qui contraste nettement avec les États-Unis où ces clauses sont présentes dans 91% des cas. Sans surprise, les secteurs Banque & Finance et Industrie sont les secteurs les plus susceptibles de comporter une MAC clause.

Focus France : à l’instar de l’Allemagne, l’utilisation des clauses MAC est en progression en France d’année en année (26% des transactions en 2015 comportaient une MAC clause, contre 12% sur la période 2010-2014).

NB : la réforme du droit des contrats qui entrera en vigueur le 1er octobre 2016 pourrait avoir un impact sur cette tendance. Cette réforme instaure dans le Code civil un mécanisme légal permettant au juge de réviser le contrat en cas de changement de circonstances imprévisibles rendant l’exécution du contrat excessivement onéreuse pour une partie qui n’avait pas accepté d’en assumer le risque, sauf clause contractuelle contraire prévue entre les parties.

Différences régionales notables : les transactions au Royaume-Uni sont actuellement les moins susceptibles d’inclure une clause MAC (7% seulement).

Recours à l’arbitrage stable en Europe

Sur l’ensemble de l’Europe, les parties ont décidé en 2015 dans 36% des opérations de confier la résolution de différends à un ou plusieurs arbitres plutôt que de soumettre le litige aux tribunaux. Ce chiffre est stable depuis 5 années. L’arbitrage, mode de règlement des litiges certes coûteux, a l’avantage d’être confidentiel et rapide.

Différences régionales notables : en Europe Centrale et Orientale, l’arbitrage représente le mécanisme de résolution des litiges privilégié (72% contre la moyenne européenne de 36%), traduisant sans doute un inconfort des investisseurs notamment étrangers vis-à-vis des institutions étatiques.

 


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Les logiciels d’aide à la prescription (LAP) sont-ils des dispositifs médicaux ? Le Conseil d’Etat saisit la Cour de justice de l’Union européenne

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Le II et le III de l’article L 161-38 du Code de la sécurité sociale (« CSS ») posent le principe d’une obligation de certification par la Haute Autorité de Santé (« HAS ») des logiciels d’aide à la prescription médicale (« LAP ») et des logiciels d’aide à la dispensation (« LAD »).

Pour l’application de ces dispositions législatives, le décret 2014-1359 du 14 novembre 2014 a notamment introduit dans le CSS les articles R 161-76-1 à R 161-76-18 qui rendent la certification des LAP et des LAD obligatoire à compter du 1er janvier 2015.

Le Conseil d’Etat est saisi d’un recours en annulation du décret du 14 novembre 2014.

Dans le cadre de ce recours, il est principalement soutenu que, selon leurs fonctionnalités, certains LAP peuvent, le cas échéant, être qualifiés de dispositifs médicaux. Les dispositifs médicaux, s’ils satisfont à certaines exigences essentielles comme l’atteste leur « marquage CE » prévu par la directive 93/42 relative aux dispositifs médicaux, doivent pouvoir être librement mis sur le marché en France.

Or, en l’espèce, depuis le 1er janvier 2015, les LAP qui sont également qualifiés de dispositifs médicaux et qui portent le marquage CE ne peuvent plus être commercialisés en France s’ils n’ont pas été, de surcroît, certifiés conformes au référentiel LAP Hospitalier. L’application d’une telle procédure de certification aux DM constitue ainsi un obstacle à la mise sur le marché et à la mise en service des LAP qui répondent également à la définition de dispositifs médicaux, en contrariété avec le droit de l’Union européenne.

Avant de statuer sur le fond du litige, le Conseil d’Etat, par un arrêt rendu le 8 juin 2016, pose à la Cour de justice de l’Union européenne la question de savoir à quelles conditions un LAP peut être qualifié de dispositif médical.

« Ce qui pose potentiellement la question de la compatibilité des procédures d'accréditation mises en place par la HAS avec le droit européen » conclut Bernard Geneste, avocat associé de CMS Bureau Francis Lefebvre.


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CMS Bureau Francis Lefebvre désigne son nouveau Directoire

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Le Conseil de Surveillance de CMS Bureau Francis Lefebvre a désigné le 15 juin 2016 un nouveau Directoire composé de 4 avocats associés : Pierre-Sébastien Thill, Laurent Marquet de Vasselot, Philippe Grousset et Laurent Hepp.

Il a nommé Pierre-Sébastien Thill, Président, Laurent Marquet de Vasselot, Directeur Général, Philippe Grousset, Directeur Général et Laurent Hepp, membre du Directoire.

Ce nouveau Directoire exercera ses fonctions à compter du 1er juillet 2016 pour une durée de quatre ans.

Pierre-Sébastien Thill, 60 ans, a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 1984 et a été coopté associé en 1993. Il a exercé les fonctions de membre du Directoire de 2000 à 2004 puis Président du Directoire de 2004 à 2012 et Président du Conseil de Surveillance de 2012 à 2015. Il a également occupé le poste de Président du Comité exécutif de CMS (2003 – 2008) puis en a été membre jusqu'en 2012. Il est titulaire d’un DESS de droit des affaires de l’Université d’Aix-Marseille (D.J.C.E.).

Laurent Marquet de Vasselot, 54 ans, a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 1991 et a été coopté associé en 1998. Membre du Conseil de Surveillance de 2009 à 2012, il est membre du Directoire depuis 2012. Spécialiste en droit social, il est diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (1984) et titulaire d’un DEA de droit. Il est Docteur en Droit privé et Professeur des Universités associé à Panthéon-Assas (Paris II). Il a été  membre du Conseil de l'Ordre des avocats (de 2006 à 2009).

Philippe Grousset, 56 ans, a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 1986 et a été coopté associé en 1998. Membre du Conseil de Surveillance de 2004 à 2010, il a été reconduit dans cette fonction en 2013. Titulaire d’un Master II de droit des affaires (1985, DJCE de Montpellier), il est chargé d'enseignement en droit fiscal auprès de l'Université de Montpellier. Il est, par ailleurs, ancien Président et Administrateur de l'Institut des Avocats Conseils Fiscaux (IACF).

Laurent Hepp, 48 ans, a rejoint CMS Bureau Francis Lefebvre en 1992 et a été coopté associé en 2004. Il est membre du Conseil de Surveillance depuis 2012. Spécialisé en fiscalité, il est diplômé de l’EM Lyon (1990), titulaire d’une maîtrise en droit des affaires de l’Université de Paris II-Assas (1991) et d’un Master of Laws (LL.M) de la London School of Economics (1992).

CMS Bureau Francis Lefebvre compte aujourd'hui près de 600 collaborateurs, dont 380 avocats parmi lesquels figurent 104 associés.


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Droit du travail – La réforme impossible? | Laurent Marquet de Vasselot aux matinales de HR consultancy partners

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Pas un jour ne passe sans que la réforme du droit de travail ne fasse la une des journaux. Ou plutôt que l’actualité qui entoure le cheminement législatif de la « loi travail » ne s’impose dans le paysage médiatique.

La quatrième matinale organisée par HR consultancy partners, cabinet de conseil en ressources humaines du groupe Randstad France, le vendredi 3 juin dans les studios de TF1, a réuni quatre experts du droit, de la politique et du dialogue social :

  • Laurent Marquet de Vasselot – avocat associé de CMS Bureau Francis Lefebvre, membre du Directoire  et professeur des universités associé à Panthéon-Assas
  • Bertrand Martinot – économiste, ancien délégué général à l’emploi et à la formation professionnelle
  • Xavier Moulins – DRH groupe de Groupe Eurotunnel
  • Jean-Dominique Simonpoli – directeur général de Dialogues (lieu d’échanges entre syndicats et organisations patronales)

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